Récit d’un séjour au Cameroun : Sortir de ma zone de confort Lieu : Amherst (Bibliothèque de Vendée)Voir toutes les activités de cette bibliothèque

Récit d’un séjour au Cameroun : Sortir de ma zone de confort Lieu : Amherst (Bibliothèque de Vendée)Voir toutes les activités de cette bibliothèque
Posted in Uncategorized

À la Bibliothèque de Vendée le mercredi 5 avril avec Jean Chapleau de 13h30 à 14h30

1800 Rue du Village, Amherst, QC J0T 2T0

Récit d’un séjour au Cameroun : Sortir de ma zone de confort

Jean Chapleau a vécu 9 semaines dans un petit village (Fonakeukeu) au Cameroun chez les villageois. Cette petite bourgade n’avait pas d’eau courante, l’électricité y fonctionnait quelques heures par jour. Cette conférence portera sur ses chocs culturels vécus, ses découvertes sur ses capacités d’adaptation, sur le bonheur des enfants malgré la pauvreté et le travail qu’Ils font.
Il vous racontera des anecdotes, des situations bouleversantes, des conditions sanitaires et de la nourriture. Mais aussi par-dessus tout, des leçons de vie apprises au contact de ces gens si accueillants et généreux.

Tout cela à partir de son livre : «Récit d’un séjour au Cameroun».

Clientèle : AdosAdultes et aînés 

Récit d’un séjour au Cameroun

ISBN: 9782890926370
ISBN numérique: 9782890926448
Nombre de pages: 241
Dimensions: 6X9
Format: papier, ePub

Le choc culturel d’un éducateur spécialisé

Par Jean Chapleau

Lorsque l’avion a posé ses roues sur le tarmac de l’aéroport de Douala, mon cœur a failli s’arrêter. J’allais fouler le sol de l’Afrique, plus particulièrement au Cameroun, à un âge où la langueur de la retraite aurait dû me retrouver assis en douce rêverie. Pourtant, j’entreprenais un séjour de neuf semaines, dans un petit patelin, en accompagnant des stagiaires. Durant ce séjour, je côtoierai des personnes qui doivent se battre quotidiennement pour se nourrir, en travaillant aux champs, en allant chercher de l’eau parfois loin de chez eux et qui garderont tout de même une joie de vivre. Je serai bousculé dans mes valeurs et dans mon mode de vie nord-américain, où la notion de bonheur et de bien-être est associée à nos avoirs. En voyant les habitants du village se satisfaire du minimum, je me suis posé régulièrement la question: «Combien me faut-il pour être heureux?» Depuis mon retour, j’ai le sentiment qu’une partie de moi est devenue «africaine». II est maintenant impossible de sortir l’Afrique de moi …

Leave a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Loading